20.1.11

Une rue la nuit



Ma culpabilité est mise à l'épreuve quand je croise des itinérants, contraints à se trouver un coin chaud pour passer la nuit à l'extérieur par -20 degrés. Je ne connais pas leur histoire, leur chemin de vie... mais il y a de quoi se questionner, une fois de plus, sur ce qui fait tourner cette planète.

1 commentaire:

Le Seuil a dit...

Imaginez à -30... à 10 degrés de plus sous zéro ce matin, on se pose encore plus de questions sur ce qui fait tourner cette planète. Le froid, peut-être, autant celui qui se passe en ce moment pour l'itinérant que celui qui se passe entre lui et les passants...