Le nouveau maire de la Ville Reine est une créature peu enviable. Que penser du fait que la plus grande ville du Canada se choisisse comme maire un "bonhomme" aussi pitoyable que Robert Ford? "Nos villes ne sont pas faites pour les cyclistes", "un cycliste qui meurt, c'est regrettable, mais au bout du compte, c'est de sa faute"...voilà, en substance, quelques extraits de ses nombreux traits d'esprits. On pourrait s'attarder longtemps sur les aboiements de ce pitbull obèse, mais le personnage ne le mérite pas. Que nous apprend un choix pareil de la part des électeurs? Peut-être qu'au Canada aussi se développe un mouvement similaire au "Tea Party" étasunien, une vague d'anti-intellectualisme effrayante. Tout ce qu'on espère toutefois, c'est que le moins possible de torontois ont choisi...quelqu'un qui leur ressemble!
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