Peur du noir, peur de regarder sous son lit ou dans son placard d'enfant, peur de la nuit dans laquelle les contours se troublent et se dissolvent pour revêtir des formes menaçantes. Peur des ombres qui s'allongent sous la lune pour nous attraper de leurs doigts crochus. Peur du croque-mitaine, des monstres humains ou pas. La peur irrationelle; presque toujours il n'y a rien à craindre. Presque...
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1 commentaire:
J'aime beaucoup ton trait nerveux, même le traitement des couleurs est angoissé. Génial!
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